L’article #CAPA#01: Les 7 lois de l’abondance universelle est apparu en premier sur Calachampa Light.
]]>Caroline: Bonjour, bonsoir, bienvenue sur Radio Calachampa. Comment ça va Patrice?
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]]>L’article #CAPA#00: Les lois de l’enfermement personnel est apparu en premier sur Calachampa Light.
]]>Caroline: Bonjour et bienvenue sur Radio Calachampa. Aujourd’hui pour notre premier podcast, on va parler de toutes les lois qui nous avaient empêchés d’être nous-même. On s’est rendu compte qu’on avait tous vécu en nous trois types de lois : des lois personnelles et individuelles liées à notre identité, des lois de la société liées à notre environnement et des lois universelles qui permettaient de transcender nos lois personnelles et nos lois de la société.
Patrice: Et on démarre avec les lois personnelles.
Caroline: Les lois personnelles sont toutes les croyances qu’on avait eu sur nous-même depuis notre naissance. Depuis mon premier souffle, j’avais eu des pensées mais ces pensées elles n’étaient pas venues de nul part. Dans un premier temps, elles étaient venues de ce que j’avais observé quand j’étais sortie du ventre de ma mère. Ma première relation avec l’extérieur, c’était ma relation avec mes parents et avec mes frères, avec ma famille. En tant qu’enfant on observe et puis on fait des liens. On se dit: « Ah bah tiens on m’a dit ça, donc ça doit être vrai. » Puisqu’à priori en tant qu’enfant tout ce que nous disaient nos parents était vrai au début. Et puis après on allait vers l’extérieur et on voyait des choses différentes. Et là on pouvait remettre en question nos propres croyances. Sauf qu’en tant qu’enfant il y avait quelque chose qui existait, c’était la relation affective. Donc on croyait plus facilement nos parents parce qu’il y avait un lien d’amour qu’un inconnu. Ce qui fait qu’après toutes nos relations étaient teintées de nos propres croyances depuis notre naissance. Et on pouvait se rendre compte qu’on répétait souvent les mêmes schémas, qu’on avait toujours les mêmes pensées en tête, qu’on vivait toujours les mêmes choses. Et puis un jour on se dit: « J’en ai marre de vivre les mêmes choses. Ce que je vis est-ce vraiment ce que j’ai envie de vivre? »
Patrice: En même temps, peut-être qu’il y avait des lois de la société qui étaient régies au- dessus des lois personnelles et qui rendaient notre existence plus complexe?
Caroline: T’as raison. Finalement les lois de la société c’était aussi toutes les croyances d’une société. Si on grandissait en France, on avait le schéma sociétaire qu’à 18 ans on avait notre BAC, après on faisait des études, après on avait un travail, après on se mettait en couple, on emménageait ensemble, on se pacsait ou on se mariait et après on faisait des enfants.
Patrice: Comment tu as fait pour enfreindre les lois de la société pour vivre tes lois personnelles?
Caroline: Ça a été tout simple. J’ai regardé le schéma de mes parents, j’ai regardé le schéma de mes amis et je me suis dit: « Est-ce que je me retrouve dans le schéma de ce que je vois, de ce qui m’est au plus proche? » Et la réponse a été non. Après ça a été ce qui se passait au global dans tous les gens que je pouvais voir. « Est-ce que ça me correspondait? » Non. Et donc du coup, à partir de ce moment là j’ai fait une introspection personnelle pour aller voir déjà d’où mon existence était partie. Pourquoi je faisais ce travail là? Pourquoi je vivais à Paris? Pourquoi mes amis étaient comme ça? Pourquoi j’avais telle réaction? Pourquoi j’aimais ça ou pourquoi je n’aimais pas ça? Qu’est-ce qui m’appartenait? À quel endroit j’étais libre ou je ne l’étais pas?
Patrice: Et dans ce travail introspectif que tu as pu faire, est-ce que tu t’es servi d’outils de développement personnel ou est-ce que tu t’es servi des leçons de la vie dans ton mouvement?
Caroline: Je me suis servie des outils de la vie dans mon mouvement. J’ai passé mon temps à questionner les uns et les autres pour savoir ce qu’ils vivaient, pour moi-même avoir des réponses et savoir qui j’étais et ce que je voulais. Je pouvais avoir des réponses à des endroits et mais tant que je ne les expérimentais pas ça ne fonctionnait pas.
Patrice: Qu’est-ce que tu as fait pour répondre aux questions de ton livre de lois personnelles?
Caroline: Je suis allée voir chaque pensée une par une, chaque émotion que j’avais pour savoir si c’était moi, si elles m’appartenaient ou si c’était quelque chose qui m’avait conditionnée.
Patrice: Et comment tu avais décider d’aller en quête de ton existence?
Caroline: En fait c’est ne plus rien contrôler de soi-même. C’est lâcher prise tout le temps et être soi tout le temps. C’est à dire que si un moment j’ai envie de pleurer, ne pas me dire ce n’est pas le moment pour pleurer, je pleure. Qu’est-ce qui se passe? Et de dire pourquoi je pleure. Si j’ai envie de rigoler, je rigole. Pourquoi je rigole? Et je l’exprime. Peu importe ce que les autres vont dire, c’est vraiment être à l’écoute de soi et être honnête avec soi-même tout le temps. Et plus on est honnête avec soi, plus on a des réponses et plus on peut dissoudre ce qui n’était pas nous.
Patrice: Donc ce livre de lois personnelles.
Caroline: C’est ça. Une fois qu’on se dit que finalement tout ce qu’on avait pensé avait été à côté de nous-même et qu’il n’y a plus d’attente à l’extérieur, là on peut commencer à se découvrir et à vivre pleinement tel qu’on est. Puisque forcément des croyances avaient impliqué des peurs, avaient impliqué des limites. Et on redoutait un peu le changement parce qu’on se disait: « Je suis comme ça je ne peux pas être autrement. Si j’agis autrement ça veut dire que je ne suis plus moi-même. » Et bien non, c’est en fait à ce moment là quand on agissait différemment qu’on commençait à être nous-même.
Patrice: Et donc résultat des courses, où est-ce que tu en es aujourd’hui par exemple?
Caroline: Toutes les pensées que je pouvais avoir avant n’avaient été que des conditionnements de l’extérieur. Et toi comment est-ce que tu t’es rendu compte que tu avais des lois personnelles et qu’elles ne t’appartenaient pas?
Patrice: Tout simplement en observant les uns et les autres, je me suis moi-même auto perçu et j’ai pu comprendre mes comportements. Dès notre naissance, la première chose qu’on nous avait matérialisé c’était un livret de famille. Boum! Livret de famille, prénom, nom, date de naissance, hop, t’as une identité. Il suffisait de s’en rappeler pour savoir qu’on avait eu un livre de lois personnelles en soi et qui avait été de dire « oui ou non » on aime ou on aime pas cette émotion. Finalement chaque individu disait: « oui ou non ». « J’aime ce sourire? Oui. Pourquoi? Parce que ça me rappelle une pensée ou un sourire de quelqu’un que j’avais apprécié. Dans chaque mouvement, on pouvait déjà vivre une émotion. Un geste renvoyait énormément d’informations et donc forcément on pouvait tout de suite dire si on aimait ou on aimait pas. Le livre des lois personnelles avait été simplement un livre « j’aime ou j’aime pas ». Donc ça avait déjà été à côté de notre humanité. On nous avait déjà mis à l’épreuve sans que nous existions par nous-même. Tout avait déjà été encastré comme ça les uns avec les autres sans même que chacun s’en rende compte pleinement.
Caroline: Alors qu’est-ce que t’avais compris?
Patrice: Déjà il fallait que je sorte de ces lois de la société qui ne correspondaient pas du tout à ce que je souhaitais. C’était un gros travail personnel. Pour ça j’ai dû m’informer, faire des recherches sur internet. Ça avait été un travail de ne jamais dire « oui ou non » à quelqu’un et de toujours faire un choix neutre.
Caroline: Finalement y avait toujours une influence de l’extérieur pour nous ramener au fait qu’on ne pouvait pas être tel qu’on voulait être ou penser ce qu’on voulait penser?
Patrice: Ça avait été le reflet de la société et ça avait été le reflet miroir de ce qu’on était les uns envers les autres. Dans ces reflets pour retrouver ma liberté, j’avais eu besoin de sortir de tous les conditionnements de la société parce qu’avec les conditionnements de la société j’avais pas ma place. Je ne trouvais pas de repères, j’étais triste. C’était une tristesse intérieure que je n’arrivais pas à exprimer à l’époque parce qu’on préférait garder ça en soi et ne pas déranger ce que pouvait penser l’extérieur. Les règles de la société j’ai même pas besoin d’en parler puisque chacun sait à quoi ça correspond. Par contre moi j’avais décidé de me dire que je n’avais aucune règle. Pour faire plus simple et bien je le manifestais et je le disais. Donc dès que quelqu’un me disait qu’il avait une opinion ou qu’il faisait un constat d’étonnement sur un sujet d’actualité ou sur un sujet qu’il avait envie d’échanger, je le laissais parler puisque moi je n’avais aucune règle. Mais pour autant je n’étais pas forcément d’accord.
Caroline: En ayant plus de règles tu accueillais tout le monde sans jugement?
Patrice: Aujourd’hui c’est le cas mais ça n’avait pas été comme ça au départ. Puisque pour enlever toutes les règles, en tous cas moi j’en voulais pas, donc fallait que je parle. J’avais un point de vue ou une argumentation qui pouvait déranger l’individu en face de moi.
Caroline: Quand la personne était dérangée quand tu émettais ton point de vue, qu’est-ce qui se passait?
Patrice: Y avait un effet de point de vue. Je m’en amusais parce que ce point de vue ne m’était pas personnel mais pour la personne en face ça pouvait l’être. À partir du moment où je discutais avec des personnes, j’étais déjà satisfait du dialogue que je pouvais avoir et y avait aucune attente en retour. Ça paraît simple pour nous mais c’est pas forcément le cas pour tout le monde et ça on est au courant. C’est à dire qu’aujourd’hui on est là pour parler de tout ça. On va essayer d’élargir ce qu’on voit des uns et des autres puisqu’aujourd’hui je pense par rapport à mon unité. Mon unité c’est simplement que je suis unifié avec l’ensemble, par exemple. Ça veut simplement dire que j’ai une vision globale de notre humanité, donc de tout ce qui se passe dans le monde, finalement de chaque individu, et que c’est suffisant pour exister puisque finalement le rapport qu’on avait en face était un rapport individuel. Et aujourd’hui j’ai plus ce rapport individuel, j’ai un rapport global. Ça ramène finalement non plus à mon livre de lois personnelles, non plus aux lois de la société mais ce qui avait été régi par les lois universelles. Les lois universelles avaient existé et j’avais dû m’en servir pour retrouver mon unité. Donc c’est simplement ma voix qui va discuter sans que pour autant j’ai une interprétation derrière puisque c’est le langage du coeur qui fonctionne comme ça.
Caroline: Et donc si quelqu’un veut dissoudre ses lois personnelles, quel conseil tu pourrais lui donner?
Patrice: Le constat qu’on fait tous les deux aujourd’hui c’est qu’il y a énormément d’ouvrages sur le développement personnel. Moi j’ai même pas besoin d’ouvrir un livre sur le développement personnel puisque c’est que des choses qui ont déjà été racontées et qui répondent à une certaine partie de notre livre de lois personnelles mais pas à la totalité. Il fallait également explorer d’autres écritures, d’autres textes, d’autres langages.
Caroline: En fait finalement chaque chose qu’on vit dans notre quotidien, dans nos relations, toutes les pensées qu’on peut avoir, les émotions, finalement les problèmes qu’on rencontre et les blocages qu’on rencontre, y a juste à mettre un mot dessus, à le taper sur google et là on commence à faire une recherche et on peut aller à l’origine de ce qui nous avait dérangé, de ce qui nous avait pas appartenu, par exemple?
Patrice: Oui, c’est simple pour toi et moi mais c’est pas forcément simple d’aller sur internet et puis d’aller à l’origine. On parle de quelle origine par rapport à quelle origine? Ça pouvait prendre du temps puisqu’une origine ramenait forcément à toute une réalité qui avait été oublié.
Caroline: Donc le plus simple finalement dans ce que tu dis c’est faire un reset, de se dire: « Allez maintenant j’accepte que de repartir à zéro, que mon esprit est vierge et j’avance comme ça chaque jour et je vois ce qui se passe »?
Patrice: Là tu viens de répondre à une question existentielle. Oui avoir la capacité de faire le vide et de passer à autre chose, on est déjà dans le présent. On appelle ça le présentisme. Mais encore une fois le présentisme pouvait répondre à des lois, à des résonances et forcément moi je les ai appliquées par rapport à ce qui avait été régi dans le ciel, donc aux lois universelles parce que sinon je ne pouvais pas y accéder, je ne pouvais pas être moi-même, même si je faisais un travail sur moi en revoyant des origines, je retombais forcément sur des individus qui n’avaient pas été complètement libres dans chaque réalité ou dans chaque époque qui avaient pu exister.
Caroline: Oui parce qu’il y avait eu autant de livres personnels, que d’individus, que de réalités, que d’univers sur Terre. Donc finalement ça avait été tout un méli-mélo de plein de choses différentes là où on n’avait pas forcément tous vécu ensemble dans une réalité commune.
Patrice: Ouais on appelle ça en sciences la théorie des cordes. Donc ça avait été la cosmogonie et non pas la cosmologie puisque la cosmogonie on avait l’impression d’être dans l’agonie.
Caroline: En fait chacun avait joué sa propre musique sans pouvoir jouer avec son voisin?
Patrice: Ouais c’est exactement ça. Tout avait été une illusion on avait tous été à côté. Aujourd’hui je suis libre et je ne crois plus en rien de l’extérieur sauf à l’amour. Et tout le monde est libre comme moi de ne plus croire en quoi que ce soit sauf à l’amour.
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