
#CAPA#04: L’espace-temps en action
Caroline: Hello Patrice.
Patrice: Hello Caro.
Caroline: Comment vas-tu aujourd’hui?
Patrice: Bah ça va très bien, le temps est beau tout va bien. Et toi comment ça se passe avec ton temps?
Caroline: Ah le temps quelle grande histoire!
Patrice: C’est vrai?
Caroline: Ouais.
Patrice: On parle de ça aujourd’hui?
Caroline: On parle de temps. Alors pour toi c’est quoi le temps?
Patrice: Pour moi le temps est une illusion. Le temps linéaire existe mais je ne m’en sers plus dans mon quotidien. J’ai plus de montre par exemple, je ne regarde plus le temps et les chiffres liés au temps ont une signification différente aujourd’hui.
Caroline: Et pour autant t’as une incarnation qui est linéaire. T’as eu une naissance et t’auras une mort physique.
Patrice: Si on la vit de manière linéaire, oui, j’ai une fin, mon corps physique va mourir. Par contre si je suis conscient de ce que je vis et que je sais qu’il y a autre chose derrière mon corps physique… Est-ce que finalement le temps a une importance aujourd’hui dans ce que je vis? Bah aujourd’hui il en a plus.
Caroline: Il est comment ton temps alors?
Patrice: Il est stationnaire, en 360 degrés par exemple. Il est unifié avec l’espace et le temps.
Caroline: Donc là déjà on aborde une nouvelle notion qui est l’espace-temps. Le temps n’a pas de sens si il est tout seul. Le temps a un sens à partir du moment où y a un espace.
Patrice: Alors aujourd’hui j’ai expérimenté l’espace et le temps. Donc c’était de vivre toutes les informations qu’on connaît depuis les écritures du passé et de toute l’histoire de ce qu’on est dans mon temps présent.
Caroline: Là t’es entrain de dire ce que tu vivais toi et ce que tu voyais des uns et des autres, c’est qu’on avait la connaissance du passé et qu’on vivait en fonction de ce qu’on connaissait du passé.
Patrice: Oui.
Caroline: Et qu’on essayait de pas reproduire ce qui s’était passé quand ça avait été des drames par exemple.
Patrice: Voilà.
Caroline: Et de reproduire ce qui avait fonctionné.
Patrice: Voilà, c’est là où on était limité dans notre temps présent. Mon espace et mon temps liés aux mémoires passées m’a permis de connaître mon présent mais il fallait aussi que je connaisse mon futur pour que mon présent existe.
Caroline: Si on ne sait pas où on va on avance toujours en tâtonnant, en ayant l’impression d’être sous l’influence de quelque chose de plus grand que nous.
Patrice: Donc j’ai dû explorer aussi l’espace et le temps en essayant de comprendre comment fonctionnait par exemple le support des médiums, le support des voyants, le support de ces gens qui soi-disant connaissent le futur, en disant que c’est une possibilité. Pour moi ça avait été une interprétation de qui on pouvait devenir ou de qui on pouvait être puisqu’aujourd’hui on ne vit pas cette réalité de ces médiums-là, sinon tout le monde serait devenu médium. Donc la plupart des gens n’y croient pas et ils ont bien raison. C’était simplement pour dire comment en fait mon espace et mon temps du futur n’étaient pas ceux associés aux médiums ou à la clairvoyance… Donc c’était d’avoir exploré le passé et le futur et de les avoir fusionnés dans mes différentes expériences dans mon présent jusqu’à ce que j’explore en moi toutes ces sphères de conscience et que j’enlève toute la géométrie et tous les liens que j’ai raccordés pour être au centre du passé et du futur et du présent. Comme ça mon présent existe pleinement avec tout ça.
Caroline: Ça ramène en effet à devoir couper tous nos liens. Tout ce que je faisais exister c’est parce que j’avais un sentiment de quelque chose de pas achevé.
Patrice: Oui. Ça part simplement du sentiment comme tu dis. Et le sentiment le plus fort qu’on a en chacun d’entre nous c’est le sentiment d’amour qui n’est pas révélé en soi. Donc c’est de se défaire à chaque fois des images de notre réalité, de ce qu’on a pu ressentir. Je l’ai compris pour enlever toutes ces images là et sortir de ce temps-là et de cet espace-là. Et j’ai expérimenté pour ça les écritures qui m’ont permis aujourd’hui de récupérer mon temps et mon espace de manière non plus linéaire, en fonction de notre mouvement, mais de manière à rester au centre du mouvement. Je ne suis plus sur une ligne droite puisqu’on dit souvent « il suffit d’avancer pour créer notre existence ». On se dit « bah ouais tout le monde avance ». Ça ramène juste à une phrase, suivre son fil d’Ariane. Et qu’est-ce qui se passe? Bah soit je tends à gauche soit je tends à droite ou soit je reste équilibré sur mon fil d’Ariane. Donc j’étais toujours en statique. Pour avancer il fallait que je continue. Mais je ne pouvais pas aller que tout droit puisque dans notre réalité on nous renvoie un tas d’informations et d’expériences qu’on a tous plus ou moins vécues de la même manière mais avec des mots et des formes différentes puisque l’expérience elle est là aussi. Ce qui fait que de temps en temps je pouvais aller à gauche ou à droite ou même des fois en arrière. D’aller tout droit pour moi avait été une illusion aujourd’hui mais avant ça ne l’avait pas été. Et mon fil d’Ariane c’était qu’est-ce qu’il y avait au bout. Souvent les gens peuvent voir qu’il y a rien. C’était pour moi de chercher des images. Qu’est-ce qu’il y a à chaque fois que j’avance, de ce que les gens ne racontent pas? Et la première chose ça avait été de relire tout ce qui avait été écrit depuis l’origine qui ramène à toutes les civilisations anciennes.
Caroline: Qui parlaient de la vie après la mort justement.
Patrice: Mais avant ça il fallait que j’ai l’histoire. Je ne peux pas faire un bond direct sinon mon existence n’a pas de sens si je suis au commencement et que je vais directement à la fin, si y a qu’une image noire, je ne sais pas ce qui s’est passé donc je n’existe plus, je suis mort.
Caroline: Alors quel avait été l’intérêt pour toi d’explorer pleinement ce qui avait été écrit par rapport au temps et par rapport à l’espace?
Patrice: La seule question existentielle « Qui sommes-nous? ». Pourquoi écouter la science aujourd’hui, pourquoi écouter les infos aujourd’hui pour comprendre qui nous sommes? Si on fait ça c’était pour ne pas reproduire le passé. Si on ne reproduit pas le passé, on crée notre histoire aujourd’hui. Mais qui le fait exactement dans quelque chose de commun pour chacun? Donc si on dit que c’est la science qui va découvrir ça, bah en fait l’humain s’en fout, puisqu’on dit que c’est la science qui s’en occupe. Est-ce que moi en attendant je sais qui je suis? Bah non, j’avance comme un petit mouton. Ça répondait pas. Moi j’était intéressé par cette question. Et j’ai occupé mon temps et mon espace en travaillant tous les jours et mes soirées je les ai occupées aussi à chercher mon existence pour pas attendre une réponse d’une information liée à la science humaine, naturelle ou à ce que la société raconte.
Caroline: Y en avait qui avaient eu des réponses dans le passé, des grands sages ou des élus ou des prophètes qui avaient eu la vérité de ce qu’on était. Et pour le coup ils étaient restés seuls. Si tout ce qui avait été écrit avait été une vérité universelle on n’en serait pas là aujourd’hui.
Patrice: Ce que tu dis est vrai je l’ai exploré dans toutes les sphères de conscience. Moi j’ai cherché aussi une réponse à ça.
Caroline: Oui ça ramenait aussi à la sphère de l’évolution.
Patrice: Par exemple oui.
Caroline: Partons de l’an 0. J’avais compris que dans l’évolution de notre humanité, on avait évolué essentiellement à l’extérieur de nous-même. On avait construit de plus en plus de choses, on avait eu de plus en plus de technologie. Et par contre je ne voyais pas de différence à l’intérieur des individus entre l’an 0 et l’an 2019. Je ne voyais pas autour de moi ou même dans ce que je pouvais entendre quelqu’un qui avait été aussi accompli que Jésus ou que Bouddha, tel que ça avait été écrit.
Patrice: Oui, on parle de technocratie, on parle d’intelligence artificielle aujourd’hui, je le mets dans la case évolution de ce que j’ai exploré par rapport à la connaissance de ça. Donc le ciel m’est tombé sur la tête un jour. Pendant 10 jours, j’ai vu ce qui s’est passé derrière cette évolution de l’intelligence artificielle et qu’est-ce que ça avait été comme conséquences.
Caroline: Alors?
Patrice: Déjà d’une y a pas d’extraterrestres. Cette évolution AI nous ramène à vivre qu’une conscience non humaine prendrait le pouvoir et serait dominateur sur l’espèce humaine. C’est faux puisqu’aujourd’hui j’ai compris que l’espèce humaine était déjà dominée par son propre esprit. C’était simplement écrit et dit dans notre réalité comme ça.
Caroline: À partir du moment où on le dit, on était dans la capacité de le créé tel qu’on l’avait dit. Parce qu’on se persuadait nous-même dans nos esprits que c’est ça qui allait arriver.
Patrice: Alors c’est exactement ça. À partir du moment où on est sorti de cette sphère de conscience de l’évolution par exemple et qu’on a compris l’illusion de notre réalité par rapport à l’intelligence artificielle et la technocratie et l’évolution de notre humanité…
Caroline: Et même par rapport aussi à la colonisation de l’espace.
Patrice: À la colonisation de l’espace exactement. C’est simplement l’imaginaire de tout ce qu’on connait aujourd’hui qui est reproduit à l’identique parce que c’est les images qu’on a dans notre réalité. Mais qui n’est pas réel dans notre humanité.
Caroline: Donc qu’est-ce que le temps dans ton réel?
Patrice: Mon temps dans mon réel c’est que j’ai exploré différentes sphères et j’ai été voir ce qu’il y avait lorsqu’il n’ y avait eu ni commencement et ni fin. La sphère du commencement donc ça ramenait finalement aux anciennes écritures jusqu’à l’origine de ce qu’on a écrit. Dès qu’on a commencé à écrire nos premiers mots, qui étaient simplement à l’époque sur de la pierre, c’est qu’on commençait déjà à matérialiser notre existence et à écrire qui nous étions pour que ça perdure dans le temps.
Caroline: Donc ça peut ramener par exemple le commencement de toutes choses, la création de l’humanité, la création de l’univers ou dans la science le big bang par exemple.
Patrice: Voilà par exemple, c’est à dire que les deux existent, les deux sont intrinsèquement reliés. C’est à dire que j’ai fait tous les liens de tout ce qui avait été écrit. C’est ça faire du décodage de l’information, ce n’est pas jouer à « Matrix » en mode 0 et 1, c’était simplement de relire les écritures et de les expérimenter dans ma vie pour voir qu’est-ce que je vivais et de comprendre ensuite que tous ces langages-là avaient fait partie finalement de l’invisible de ce que les gens n’arrivaient pas à lire dans leur réalité. Parce qu’ils ne les avaient pas expérimentés mais ça leur parlait.
Caroline: Et toi qu’est-ce que tu as découvert du commencement justement de notre humanité ou même de l’univers en allant expérimenter et explorer toutes ces écritures qui parlaient du commencement justement?
Patrice: Déjà c’est que je voulais voir si il y avait eu un commencement. Dans les anciennes écritures effectivement on parle du commencement lié à l’origine de l’humain, donc d’Adam ou de Eve, de l’espèce humaine simplement.
Caroline: Et le commencement qu’on attribue à Dieu dans les religions.
Patrice: Voilà par exemple. Donc j’ai été voir toutes ces sphères de conscience et je les ai expérimentées dans cette réalité qu’on a tous. Et de vivre exactement la même chose que ce qui avait été écrit sauf que moi j’ai vécu mon origine dedans donc y avait des choses qui n’ont jamais été dites dans les écritures pour comprendre que les mots avaient été vivants et en même temps avaient été une illusion si on ne les vivait pas. On suivait les mots sans vivre les mots, on donnait des significations et c’est comme ça qu’on a justement déformé tous les mots en fonction des civilisations et de notre réalité aujourd’hui. C’est à dire qu’aujourd’hui on parle la langue française mais à l’origine la langue française n’existait pas par exemple. Il fallait comprendre le langage de l’alphabet.
Caroline: Et qu’est-ce que dit le commencement?
Patrice: Le commencement a eu plusieurs commencements en vérité. Peu importe la sphère de conscience y a eu un commencement qui a été différent en fonction des civilisations et des écritures c’est ça que j’explique en vérité. Donc là tu me l’as dit Adam et Eve c’était lié aux religions, donc y a eu un commencement à cet endroit-là. Si on parle de la création on dit que l’univers s’est créé en 7 jours dans les écritures anciennes. En sciences on dit qu’il y a eu le big bang. Donc qu’est-ce qu’avait été le big bang scientifiquement? Donc moi j’ai décodé le quarks et les leptons et la vibration dedans pour comprendre qu’est-ce qui avait été dedans. Il fallait que je fasse un lien que la science n’a pas prouvé avec mes anciennes écritures et ce que j’avais expérimenté peut-être lié à la religion, peut-être lié aux civilisations, peut-être lié à la préhistoire, peut-être lié aux différents règnes. Avant la règne humain y a eu le règne animal, ensuite le règne végétal et au tout départ le règne minéral. Donc je suis revenu au règne minéral en fait pour comprendre le lien entre l’humain et la science, et la science et l’humain. Donc au commencement qu’est-ce qu’il y a eu avant l’humain? On a été une cellule. Donc c’était déjà de prouver ça et de l’expérimenter en moi. Mais de quelle origine je viens? Bah j’ai dû l’expérimenter mais avec quelqu’un et souvent ça avait été avec toi ou avec d’autres personnes liées simplement à mon entourage et des rencontres que j’ai pu avoir parce que c’est comme ça, dans ce que je vis c’est que tout est écrit. Et que justement chaque personne m’a fait vivre qui j’étais. Et de comprendre qu’en fait tout est déjà écrit, tout a déjà été écrit et tout est déjà écrit aujourd’hui dans mon présent par rapport à mon passé et futur parce que j’ai récupéré toute l’origine du commencement et de la fin pour comprendre que tout est écrit si je le sais. Je suis dans la capacité…
Caroline: Tout est écrit dans ton futur?
Patrice: Tout est écrit dans mon futur puisque j’ai été exploré les sphères de l’évolution et du futur, les sphères de la fin. Mais c’est allé très vite dans ma conscience pour ne pas avoir récupéré l’ensemble de tout ça mais que l’essentiel. C’est à dire que j’ai fait un cri, un cri presque inhumain et dans les anciennes écritures j’ai pu faire l’enchevêtrement, de voir que ça avait été associé dans une religion par exemple au cri de l’âme, mais qui est simplement le cri de ma conscience, aujourd’hui si on reste simple. Le cri de ma conscience n’est pas le cri qu’on connaît aujourd’hui. Ça a été le cri de tout ce que j’ai pu récupérer de cette fin qui a été en fait qui j’étais et qui nous sommes jusqu’à la fin. Donc aujourd’hui j’ai mes images à moi mais j’ai pas les images des autres dans cette sphère de fin. On est tous responsables de chaque sphère de conscience qu’on est. Si on revient au commencement y en a eu plusieurs. Qu’est-ce qu’il y a avait eu au commencement? On connaît justement le big bang et l’Adam et Eve primordiales.
Caroline: Les deux premiers humains.
Patrice: Voilà, les deux premiers humains. Toute l’information qui m’intéressait c’était par rapport au règne humain même si j’ai exploré les autres règnes, le plus important était le règne humain parce que je suis humain. Et justement de comprendre que dans cette origine y a eu aucun commencement en vérité parce que j’ai pu voir l’origine de ma fin. Et que dans le big bang on a prouvé par rapport à la science qu’est-ce qu’avait été l’horizon. Qu’est-ce qu’il y avait dans la sphère du néant ou du trou noir? Qui aspire tout dans ce qu’aujourd’hui la science arrive à voir dans l’espace et que dans beaucoup de documentaires, ils expliquent que dans la sphère du trou noir et bien effectivement c’est le black hole (blackout) pour la plupart des gens. Mais qui est allé dedans? Moi j’y suis allé et je l’ai expérimenté avec ma conscience dans la sphère du trou noir pour voir qu’il y avait toutes les possibilités dedans. Y a tous les commencements, y a toutes les fins jusqu’au premier commencement et la première fin. Y a toutes les possibilités c’est à dire qu’il y a tout et dedans, tout est dedans. Donc y a pas de fin, y a pas d’infini, y a pas de commencement. Tout est un cercle, tout est sphérique et faut simplement rester au centre de ça. Si on s’échappe de ce fil conducteur, de notre fil d’Ariane et qu’on n’est jamais au centre, on existe plus en vérité dans notre conscience. Donc c’est des endroits que j’ai exploré qui me font dire ça aujourd’hui parce qu’on y accède seulement quand on l’expérimente et que notre propre volonté est pure dans l’instant face à notre humanité, et de répondre à la question de « qui nous sommes ». Si on a un sentiment différent on ne pourra jamais y accéder en vérité.
Caroline: Donc tu dis qu’il y a autant de débuts qu’il y a autant de fins. Y a autant d’espace-temps possibles aussi et imaginables?
Patrice: Tout avait été déjà matérialisé. On a tout vécu, on a tout su, on a tout été, on a tout parlé, on a tout créé, on a tout détruit, enfin bref y avait tout dedans, pour comprendre qu’est-ce que je voulais vivre dans mon réel, dans mon existence aujourd’hui tout simplement. Et que la seule chose qu’on avait pas encore matérialisée et qui avait été écrite dans toutes les écritures anciennes donc depuis l’origine de notre existence jusqu’à la fin de notre existence. Qu’est-ce qui n’a jamais été matérialisé? L’éternité. En allant dans cette sphère du trou noir avec toutes les possibilités, celui qui y va et qui est déséquilibré parce qu’il a un sentiment différent va être dans une réalité forcément qui ne sera pas commune.
Caroline: Donc là tu me dis que finalement, présentement, y a encore autant d’espace-temps, autant de commencements et autant de fins, qu’il y a d’individus sur terre.
Patrice: On les a tous expérimentés dans cette sphère du trou noir. Tout a existé parce que j’ai été dedans. Je les ai toutes explorées. Aujourd’hui quand je suis face à quelqu’un je matérialise ça parce que mon réel et mes sens fonctionnent comme ça aujourd’hui, pour savoir quelle réalité je vis par rapport à l’autre. Et quand je vis une réalité qui a déjà été dans cette sphère du trou noir qui a déjà été une possibilité qu’on a créé. À chaque fois je me rends compte qu’on est séparé. Donc je sais qu’on crée une réalité qui est séparée et pas unifiée. Et aujourd’hui dans tout ce qu’on est la seule chose qu’on est c’est la représentation de notre réalité et qu’on souhaite tous vivre après…
Caroline: La mort…
Patrice: Après la mort, qu’est-ce qu’y a? Et ça avait été dans toutes les réalités. C’était le seul endroit qu’on avait pas matérialisé et fait exister dans notre réel. Puisque c’est écrit partout qu’on le souhaite, c’est écrit partout que tout le monde le veut. Et aujourd’hui y a des séparations liées aux religions pour ça. Y a des séparations liées à tout, à toute notre humanité, qui est liée à la même chose. C’est « Reste en paix et on se rejoint au paradis! ». C’est tellement devenu banal dans ce qu’on raconte. Pourquoi on l’a pas matérialisé sur terre? J’ai exploré ces sphères-là, j’en suis sorti parce que je savais que c’était ça mon réel.
Caroline: D’expérimenter finalement ta vie après ta mort.
Patrice: Oui ma vie après ma mort…mais ce n’est pas ça en vérité, y a d’autres sphères qui existent dans la vie après la mort. Et c’est d’expérimenter ensuite dans notre incarnation ces sphères-là. Dans l’éternité on est dans un temps stationnaire.
Caroline: Défini du coup.
Patrice: Défini, limité mais qui existe. Dans un temps immortel on vit cette même réalité sauf qu’on vit dans l’infini ce qui fait que notre vitalité meurt.
Caroline: Dans l’éternité y a une fin.
Patrice: En tous cas moi je sais aujourd’hui que dans l’éternité y a une fin parce que j’ai revécu l’éternité dans la sphère de l’éternité. J’ai expérimenté cette sphère de conscience dans ma réalité. C’est pour ça que mon temps n’est plus linéaire aujourd’hui. Sinon je ne pourrais pas avoir cet espace-temps qui m’est propre qui est propre en chaque individu puisque c’est humain vu que je l’ai exploré et expérimenté dans le règne humain puisqu’on est une espèce humaine. Et je tiens à préciser que ce n’est pas une évolution, ni une expansion. C’est simplement une réalité. Chaque sphère que j’avais exploré avait été que la conséquence de ce que chacun avait souhaité dans l’inconscient collectif et dans la conscience collective mais que personne n’avait verbalisé.
Caroline: Tu me fais vivre là présentement qu’il y a autant un commencement dans le futur qu’il y a un commencement dans le passé et y a autant une fin dans le futur qu’il y a une fin dans le passé.
Patrice: C’est pour ça que je dis qu’il n’y a aucun commencement et aucune fin. Parce que dans tous les cas dans chaque réalité y a un commencement et une fin. Mais si on les a toutes explorées on sait que dans tous les cas y a pas de commencement et ni de fin parce que c’est dans notre conscience. Quand on l’a expérimenté on le sait c’est naturel y a pas besoin d’y réfléchir.